Il faut que ces personnages soient traduit devant le tribunal compétent: la Cour Pénale Internationale.
Ils ont des responsabilités flagrantes, tant sur cette loi qui par l’application qu’en font les banques réduit dix millions de français à l’état d’esclave, que sur les millions d’immigrés qui viennent s’échouer sur les cotes européennes. Déclenchement des bombardements de Libye, d’Irak, et armement des rebelles syriens et bombardement actuels.
CES DEUX PERSONNAGES METTENT EN PÉRIL LA PAIX DE LA FRANCE AUX NOMS D’ INTÉRÊTS ÉTRANGERS
Concernant la lettre d’information envoyée à la CPI.
Nous avons reçu la réponse de la Cour Pénale Internationale. Elle est ici:
La phrase clé de cette réponse est la suivante:
« Les renseignements que vous avez soumis seront versés dans nos archives, et la décision de ne pas poursuivre l’analyse pourra être revue si de nouveaux faits ou éléments de preuve fournissent une base raisonnable de croire que les allégations relèvent de la compétence de la Cour. »
Nous avons toutes les raisons de croire que nous obtiendrons des faits nouveaux qui seront issus des dépôts de plainte qu’un certain nombre d’entre nous ont effectué à l’encontre des banques.
Il est en effet certains que ces plaintes avec constitution de partie civile arriveront pour un grand nombre d’entre elles jusqu’à l’instruction d’un juge. Cette poursuite de l’action publique fournira un élément nouveau dont devra tenir compte la CPI. Elles lui seront transmises.
Actuellement 20 plaintes sont déposées contre les banques.
Vous avez la possibilité, vous aussi, de déposer plainte avec constitution de partie civile, à l’encontre de votre ou vos banques (il n’y a pas besoin d’avocats). C’est ICI.
Devenez COSIGNATAIRE de l’information transmise au Procureur de la Cour Pénale Internationale relative à la suspicion de crime contre l’humanité perpétré par Nicolas Sarkozy et François Hollande. Ils ont légiféré, organisé en tant que députés, protégé en tant que Président de la République, la vente des dettes des particuliers et des ménages français les transformant en authentiques esclaves, au sens de la convention de Genève de 1926 et du traité de Rome du 18 juillet 1998.