Financement participatif au dépôt de plainte: explications

Pour participer financièrement dès maintenant,

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L’un de nos combats, est celui d’assigner devant les tribunaux, les députés et sénateurs qui ont permis à la loi esclavagiste du 23 décembre 1988 Hollande-Sarkozy de voir le jour. L’action de groupe aurait été une excellente solution pour une telle action. Malheureusement la toute nouvelle loi du 13 février 2014, sur laquelle je comptais, ne prévoit pas que le pénal y soit associé, et s’il y est , c’est sous certaines conditions que cette plainte ne remplit pas.

L’action est donc possible, mais elle reste individuelle. Pour ma part je vais une nouvelle fois la déposer, elle sera plus structurée, et plus précise encore que les précédentes qui ont toutes reçu un rendu d’irrecevabilité.

Pourquoi l’irrecevabilité? Parce que je n’étais pas d’accord sur le fait de payer une caution.

  • La première plainte fut déposée à Mont de Marsan en 2009, et le juge me demandait une caution de 500€….Que je n’ai pas payé, donc irrecevabilité.
  • La deuxième le fut à Agen en 2011 où la même procédure s’élevait à 1000€ (pour exactement la même plainte). Je n’ai pas payé, donc irrecevabilité.
  • La troisième fut celle de Paris en 2012, là on m’a demandé 2000€ ! J’ai demandé l’aide juridictionnelle qui m’a été refusée: je n’ai pas payé et donc il y a eu  irrecevabilité.

Vous pouvez remarquer que la « justice Républicaine » n’en a que le nom: sur le territoire français, l’égalité de traitement n’apparaît pas vraiment dans l’égalité, c’est le moins que l’on puisse dire. Je vous laisse juge de cette augmentation de 400% pour une même démarche judiciaire en des points différents du territoire.

Aujourd’hui, j’ en appelle à la solidarité pour pouvoir passer cette première étape du paiement de la caution, qui est un passage obligé.

Le fait que j’y ai « rajouté » l’ensemble des députés et sénateurs qui ont voté cette loi peut « aggraver » l’importance de la caution. Mais cette plainte de citoyen est aussi une plainte politique. Il est sûr que le pouvoir actuel auquel la justice obéit élèvera le mur de l’argent pour qu’échoue une fois de plus l’attaque judiciaire, c’est donc l’enjeu de cette solidarité financière: passer ce cap « censitaire », se doter de moyen pour forcer le passage.

Seul, je ne peux rien faire, sinon de prendre le risque volontaire de monter « au front », une nouvelle fois mais en vain. Ensemble tout est possible si nous arrivons à collecter suffisamment de fond. Bien sur, ce n’est pas une fortune, mais je pense que cela sera conséquent.

Si nous parvenons à passer ce cap aussi stupide que nécessaire, alors il y aura officialisation de la mise en accusation de ces personnages politiques qui ont organisé le marché de la « traite des citoyens français » devenus esclaves via les intérêts de leurs crédits. Il y aura une éclaircie dans la révélation des causes de cette crise voulue, organisée, orchestrée par les politiques au pouvoir depuis 30 années.

Si vous en avez les moyens et la volonté, si vous partagez avec moi l’idée nécessaire de mettre les véritables responsables du marasme actuel devant les tribunaux, alors vous pouvez vous associer au combat par votre participation.

Vous pouvez faire un don simple. Vous pouvez aussi acheter pour votre compte l’essai que j’ai mis en ligne, « crise de la dette crime contre l’humanité » et la marge revenant à « l’auteur » viendra abonder le compte.

Pour créer la transparence sur les opérations, j’éditerai lorsqu’il sera nécessaire le relevé de compte paypal qui est aujourd’hui de 24,88€ (c’est un début !)

Citoyens, attaquer ces personnages c’est entrer dans la véritable lutte: nous n’avons pas le choix, il faut combattre, car bientôt, nous n’aurons plus la possibilité de croire un seul instant que nous pourrons maîtriser la politique monétaire, ce qui est fondamental et vital.

Si nous nous laissons aller, nous n’aurons plus accès au crédit, nous ne serons plus les « producteurs de monnaie » par nos crédits, seules les entreprises internationales seront les générateurs de monnaie par leurs investissements (politique de l’offre). Le but de la globalisation réside dans la maîtrise des moyens d’échange c’est à dire de la création monétaire. Alors dans cet épisode qui « nous pend au nez », nous serons vidés de nos responsabilités de citoyen et d’acteur économique, nous n’aurons plus de moyens d’action: ce sera un retour accéléré à la féodalité….mondialisée.

Il est encore temps, temps de prendre conscience, temps d’agir.

Alors je vous remercie de votre prise de conscience, et de votre engagement.

Dominique MICHEL.

LA PLAINTE ?

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