NOUS SOMMES DICTATORISABLES… ET ON AIME ÇA !

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IL Y A QUAND MÊME QUELQUE CHOSE D’ÉTRANGE.

 

Nous sommes nombreux à penser que nous vivons dans une dictature.

Dictature de l’argent, des banques, de la finance, relayée par un pouvoir, c’est peu de le dire, aux ordres.

Sommes nous d’accord ?

Je le pense pour la grande majorité d’entre nous.

Cependant, ce qui me paraît étrange, c’est que, nous gorgeant d’espoir démocratique, c’est à dire le pouvoir au peuple, pour le peuple, lorsque l’on construit des outils de reconquête -non pas les partis politiques qui sont les huiles essentielles de la dictature, non pas le vote et les scrutins qui sont le résultats d’investissements colossaux forgeant la désinformation- personne n’enclenche le process. Calme plat. Rien, ou si peu.

Nous détenons pourtant toutes les manettes, nous sommes de plus en plus conscients des dysfonctionnements de notre société, hé bien non, nous ne réagissons pas…

Nous sommes là entrain de pinailler avec nos petites vies médiocres, nos destins défaillants, incapables d’agir.

Nous sommes comme ces hybrides stériles impropres à la reproduction, une espèce de société dégénérée qui se laisse aller, qui se vide de ses responsabilités en les « refourguant » aux autres qui nous dictent in fine ce que la finance anglo-saxonne décide.

Nous sommes pauvres, et nous nous en satisfaisons. Nous sommes « dictatorisables », et nous aimons ça.

Vous l’aurez compris, je vous parle de la possibilité qui se présente à vous d’agir pour que le système bancaire et financier soit attaqué. Agir, simplement agir.

Nous avons des statistiques réelles qui sont édifiantes.

Il y a deux pour mille qui ont cette volonté de combattre, et sur ces deux pour mille, il y a 90% de femmes !! IL Y A QUAND MÊME QUELQUE CHOSE D’ ÉTRANGE dans ces chiffres. Cette étrangeté nous fait dire combien la société est castrée par le pouvoir dictatorial, combien les hommes désertent (lâchement) le champ de la protection pourtant innée de la famille, du foyer, combien même l’instinct de conservation est atteint.

La sociologie n’a pas encore abordée cette défaillance, cet abandon. Peut être s’y penchera-t-elle un jour….trop tard.

En tout état de cause, la dictature s’impose lorsque les hommes sont faibles, la démocratie et la liberté se gagnent lorsque les hommes sont dignes…. et cela a un coût.

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