SANS FOI NI LOI

SANS FOI NI LOI

Alors comme ça, nous vivons dans une démocratie…(!?)

Tout le monde le dit, surtout ceux qui sont au pouvoir.

Il y a des élections, c’est vrai; cela devrait nous suffire, mais depuis quelques années, quelque temps avant les élections il y à des attentats, des attentats sanglants, des sortes de sacrifices qui deviennent rituéliques, tant ils sont précis dans leur exécution et dans leurs effets.Election et attentats

Une démocratie qui palpite aux rythmes des extrémismes; orchestrés c’est le moins que l’on puisse dire.

Une démocratie sans foi ni loi.

Sans foi ? Oui, par les tribulations d’une laïcité débordante, remuant des principes établis depuis fort longtemps, grillant à petits feu les racines profondes de nos sociétés pour capturer les pouvoirs supérieurs dévolus au spirituel.

Extrémistes eux aussi ces laïcards; prédisposés a devenir ce qu’étaient leurs maîtres, critiqués pourtant…

Vous savez ces maîtres de la laïcité, ces Staline aux 30 mille églises détruites, à la disparition étrange de croyants, ces Hitler chimique et génocidaire maître de forges sanitaires, ces Mao profanateurs de sépultures, démolisseurs de temples, ou ces Pol Pot exterminateurs absolus de nonnes et de moines.

Sans foi mais aussi sans loi: lisez plutôt ce coeur de code, temple moderne des métastases du libéralisme capitalistique, ces maîtres esclavagistes occultes légiférant dans l’ombre de leur proie. Imbus et repus de leur suffisance, ils ordonnent au peuple des choses inconscientes productrices d’indignité, de désespoir et de grands malheurs.

Deux phrases de ce code noir et nous aurons compris la grande subtilité du système qui nous est imposé.

Pour bien apprécier ce qui suit, transposez le mot créance par ce que vous êtes, c’est à dire un homme ou une femme ayant contracté un crédit. c’est de vous dont il est question, et par ailleurs le mot cession se traduit par le mot vente.

Deux phrases donc de l’Article L214-169 du Code Monétaire et Financier

L’acquisition ou la cession des créances s’effectue par la seule remise d’un bordereau dont les énonciations et le support sont fixés par décret, ou par tout autre mode d’acquisition ou de cession de droit français ou étranger. Elle prend effet entre les parties et devient opposable aux tiers à la date apposée sur le bordereau lors de sa remise, quelle que soit la date de naissance, d’échéance ou d’exigibilité des créances, sans qu’il soit besoin d’autre formalité, et ce quelle que soit la loi applicable aux créances et la loi du pays de résidence des débiteurs.

Notre droit est doté de lois qui régissent la cession des créances, c’est l’article 1690 du code civile…. Eh bien dehors ces articles, dehors aussi et plus loin dans ce même code noir les articles du code du commerce, qui régissent les entreprises en difficulté. Les sociétés de titrisations sont infaillibles. Pas de banqueroute pour ces maîtres de la morbidité.

Vous l’aurez j’espère compris, il faut que nous arrêtions cette mécanique infernale, il faut s’engager. Nous avons un outil à notre disposition, c’est la justice. Nous avons un nombre considérable d’atouts tous aussi puissants les uns que les autres. Il faut les actionner, mais pour cela il faut surmonter les peurs qu’on nous impose. Notamment la peur de la justice.

Il ne faut pas la craindre, elle est là pour répondre à nos instances. Et si ici ou là elle défaille, il n’y a aucune gravité, ailleurs elle apportera la réponse adéquat, et nous irons là où elle fonctionne.

Il faut porter plainte avec constitution de partie civile. Un procès s’ouvrira , deux, trois ou même des dizaines, et nous aurons gain de cause.

Mais au fait pourquoi attaquer les banques, nos banques ?

Parce qu’elles commettent des crimes et des délits tous les jours à votre encontre, à notre encontre. Ce faisant, elles nous infligent des dommages, elles nous portent préjudice.

Nous les attaquons au tribunal pénal pour les voire condamnées et pour les obliger à nous dédommager de tous les préjudices infligés.

N’ayez pas peur, téléchargez la plainte contre les banques et envoyez là au doyen des Juges d’Instruction de votre juridiction.

Pour le téléchargement c’est ici: http://syndicatdeluttecontrelesbanques.com/deposez-plainte-contre-votre-banque/

10 € EXPLICATION: nous incriminons les banques de crime contre l’humanité pour réduction à l’état d’esclaves les débiteurs (nous). Pour que cette incrimination soit recevable, il faut que nous répondions aux conditions de l’article 212-1 du code pénal.

Que dit cet article:

La réduction en esclavage est un crime contre l’humanité reconnu dans l’article 212-1 du Code

Pénal français.

Le premier alinéa de cet article énonce:

Constitue également un crime contre l’humanité et est puni de la réclusion criminelle à

perpétuité l’un des actes ci-après commis en exécution d’un plan concerté à l’encontre d’un

groupe de population civile dans le cadre d’une attaque généralisée ou systématique :

../.. 3° La réduction en esclavage.

Nous prouvons dans la plainte le « cadre d’une attaque généralisée ou systématique ».

En revanche, le  » à l’encontre d’un groupe de population civile » doit être prouvé, c’est à dire que nous devons nous organiser pour démontrer que notre action n’est pas esseulée, mais bien exécutée par un ensemble d’individus.

Une précision d’importance, l’action de groupe au pénal n’est pas recevable, c’est pourquoi les actions doivent être FORCEMENT individuelles.

A VOUS, A NOUS D’ENGAGER LE COMBAT, ET DE NOUS ORGANISER.

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