De la LOI et du JUGE

DE L’ INTERPRÉTATION DES JUGES DE LA LOI.

DSC_0216[1]DSC_0217[1]Le commentaire du juge ÉRIC ALT, « Porte-flambeau » de la lutte contre  la corruption financière, Conseiller Référendaire auprès de la Cour de Cassation, sur le bimensuel « Paradigme et Prospective » ( https://paradigme-prospective.fr/ ) concernant une question relative à la titrisation des créances bancaires incriminée comme crime contre l’humanité (voir l’encart), est pour le moins curieux.

Visiblement il ne connaît pas la mécanique bancaire qui procède aux ventes de titres.

Titres qui correspondent à des engagements personnels intimement liés au travail.

L’exercice du droit de propriété sur les débiteurs est incontestablement un acte esclavagiste pur.

Ce n’est pas moi qui le dit mais la loi.

Convention de Genève de 1926 signée et ratifiée par nous, traité de Rome 1998 signé et ratifié par nous énoncent le même texte:

Par « réduction en esclavage », on entend le fait d’exercer sur une personne l’un quelconque ou l’ensemble des pouvoirs liés au droit de propriété, y compris dans le cadre de la traite des être humains

Rien à voir avec: « le crime contre l’humanité doit mettre en cause la vie et la santé de personnes très directement ». (voir l’encart)

A vrai dire, on ne parle pas la même langue.

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