DES FISSURES DANS LE BÉTON, RÉPARÉES AU PLÂTRE !

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DES FISSURES DANS LE BÉTON, RÉPARÉES AU PLÂTRE !

 

Tel a été l’exposé des méthodes de François Hollande lors de sa dernière intervention télévisée.

On a vu que son champ d’action est étroit: il ne laisse pas aux solutions qui sont nécessaires, le droit d’aller ponctionner des éléments, de la matière première dans les domaines financiers ou bancaires.

Ses prérogatives sont claires: laisser respirer la finance.

Alors il entrave l’action publique en la contraignant à des saupoudrages, il organise des usines à gaz qui calculent des coups de billard à sept bandes, il enlève ici pour remettre ailleurs, et il sale le tout avec l’espoir…que cela fonctionne (?!).

Ce faisant, les marges de manoeuvres rétrécissent, les créneaux sont irréalisables: le pouvoir de la finance dans sa transcription politique n’a plus de ressource. Il est face à ses contradictions systémiques.

Son seul objectif résiduel: siphonner aussi longtemps que possible l’activité des peuples. Après: advienne que pourra.

Alors ne pas toucher à ce domaine réservé tel est le mot d’ordre caché. La finance et les banques n’ont pas a être en quoique ce soit pilotées par le politique et donc, cinquième Constitution oblige: par le peuple. C’est le sens de la politique de François Hollande.

Pourtant c’est le Peuple qui produit la monnaie dont se servent banquiers et financiers (incapables d’en créer).

Pourtant c’est le Peuple qui monétise la richesse produite, et alimente par inconscience (c’est une tare) les chancres du capitalisme financier.

Il est, de notre point de vue populaire, temps d’investir ces champs réservés.

Il faut s’emparer des banques pour leur imposer notre maîtrise.

Il ne faut pas avoir peur. Notre salut passe par là.

Déposez plainte contre les banques et organisons nous.

 

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